Rosenkugel

Je suis deux , éditions Ankama, 96 pages, 11€90 (photo de l’ouvrage par Marietta Ren. )

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Le blog de l’illustratrice, elle fait aussi des bijoux.

… la curiosité et du 380 Volt triphasé pour être précis. Depuis ce matin il y avait une odeur de putréfaction dans la salle électrique. Lorsque l’odeur de pourriture est devenue une odeur de viande brûlée suffisamment forte pour identifier la source, nous avons arrêté un tableau électrique suspect. A l’intérieur du tableau, collé entre deux phases il y avait un chat et sur les parois intérieures du tableau, le sang du chat en question. Continue reading "La curiosité a tué le chat" »

Un mollusque a été retrouvé dans la citerne d’eau courante de ma résidence, le poulpe  sans vie explique de façon pertinente l’odeur de plus en plus pugnace que l’eau du robinet avait prise ces jours derniers.

Comment l’animal a atterrit la demeure une énigme. Privé de certitude, les habitants du bâtiment ont élaboré deux conjectures:  Aurait-il été déposé par une mouette profitant de l’ouverture de la citerne ? Ou alors peut-être habitait-il son antre métallique depuis la construction de l’édifice ? Aucune de ces deux explications n’est rassurante : Soit les mouettes ont accès librement à l’eau qui nous lave et peuvent y faire tout ce qu’une mouette fait, soit nous nous sommes brossé les dents pendant des mois voir des années à l’eau de poulpe.

A part le poulpe, nous avons aussi retrouvé des algues et une grande quantité de boue. Le coté aquarium était frappant. On s’attendait presque à trouver  un de ces coffres en plastique qui font des bulles.

Il ne reste plus qu’à espérer que le fantôme du poulpe vienne nous visiter pour expliquer en détail les conditions de son décès. En attendant, je me suis repassé le film Dark Water.

Le temps est très chaud en ce moment. Le vent qui souffle d’habitude de la plaine à l’est de la montagne du lion vers la mer s’est épuisé et un air lourd pèse sur Arzew. L’été est bien installé. Toutefois notre client nous bloque sous le prétexte futile d’une absence de préchauffage sur un matériel.

Cela me rappelle qu’au Koweit, le journal faisait sa une sur la première pluie d’hiver.

Egalement, un autre expatrié m’a fait part d’un titre de journal qu’il avait vu au Cameroun : Vague de froid à Yaoundé, à 20°C

Tout est question de perspective, mais prétendre craindre de l’humidité sur un matériel lorsque la température est si élevée et que l’humidité ambiante n’est qu’à 30%, c’est vraiment excessif de mauvaise foi.

Je suis pret à partir pour l’Algérie pour une mission longue. J’ai fais quelques emplettes pour me préparer aux longues soirées et aux longs week-ends du vendredi. Sachant qu’il y a peu d’options quand on ne peut sortir de la résidence, je me suis tourné vers le sport, l’ayant un peu pratiqué dans la salle de musculation de la résidence, je me suis rendu compte que c’était la seule façon de ne pas me laisser abattre par la graisse des repas et cédant à mes bas instincts consumériste et j’ai dépensé sans compter dans divers articles de Georgiatech.

Voir le détail de mes nombreux achats :

Le magazin officiel de Georgiatech offre un large choix. Il y a de tout, vraiment de tout.

Sur la photo il ne manque plus qu’une chose, mon billet d’avion : j’étais censé partir fin février et nous sommes déja mis-mars.

De dépit, j’ai emmené mon Tervis® Tumbler au bureau. Il remplace les gobelets en plastique jetable. A défaut d’être devenu expatrié, je deviens vert. Mais vu le transport par avion de ce Tervis® Tumbler, je craints avoir un mauvais bilan carbone.

Disciple de Rodin, Antoine Bourdelle (1861 – 1929) a un musée dédié dans son ancien atelier à coté de la gare Montparnasse. La sculpture Centaure mourant, achevée en 1914 reprend un des éléments de la fresque du théâtre des Champs-Elysées.

Massive, l’œuvre est compressée dans un volume restreint. On y retrouve le thème antique cher au sculpteur associé à une surface torturée.

Je me suis amusé à reproduire avec Color! un angle de la sculpture. Ca sert d’excuse pour regarder la sculpture pendant une heure sans que le gardien du musé trouve cela étrange.
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Voici un panorama depuis la terrasse de l’hotel El Maghreb Arabi, avec une belle vue sur le port à une heure ou l’on peut voir à la fois le soleil et la lune.

J’ai bien atterri à Oran. L’avion était à l’heure, fait suffisamment rare pour être signalé. L’Algérie en ce mois de janvier se prend par endroit à rêver d’être un peu l’Écosse. Mais l’illusion donnée par des collines d’un vert presque fluo ne dure pas très longtemps. La terre ocre détrempée par les pluies torrentielles qui envahissent les routes rappelle la vraie nature du sol.

Il va y avoir un match de football Egypte/Algérie jeudi. Je me demande si on nous confinera dans les hôtels par mesure de sécurité. En tout cas, tout le pays sera devant son téléviseur.

Voici mon premier post depuis plus d’un an.

Le site a maintenant son nom de domaine et il est maintenant facilement lisible depuis un téléphone portable. Dans les mois qui viennent, je vais poster les quelques billets que j’avaient écris lors de mon voyage aux Etats Unis l’été dernier.

En ce moment, je suis à Orly en salle d’embarquement pour Oran.

Il n’y a pas eut de queue pour l’enregistrement, ni pour la douane, ni pour les controles de sureté et l’avion n’est pas annoncé avec du retard. C’est inhabituel et déstabilisant.

Je suis arrive de bon matin a Edinbourg pour quelques jours de detente en Ecosse. Malgre les previsions pessimistes de la meteo, le temps fut beau et j’ai pu visiter sans encombre le chateau de la ville et la cathedrale Saint George. Demain je m’aventurerai hors de la ville pour rejoindre un hotel en bordure d’un loch. Mais avant de quitter Edinbourg, j’ai prevu de gouter a nouveau aux delices d’un double whooper dans un burger king.
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